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Une Entreprise de Services du Numérique (ESN) , était confrontée à une productivité en berne de ses développeurs juniors et à une « dette technique » grandissante due à une documentation de code lacunaire. En intégrant un assistant de codage par IA directement dans les environnements de développement, l’ESN a vu la productivité de ses équipes augmenter de 25%, a réduit le temps d’intégration des nouveaux arrivants de trois à un mois, et a fait passer son taux de couverture de documentation de 40% à 95%.
L’ESN se vante de son agilité, mais en coulisses, ses équipes de développement luttaient contre deux maux chroniques. Le premier était la lenteur de montée en compétence des développeurs juniors. Fraîchement sortis d’école, ils passaient des heures à chercher des solutions à des problèmes déjà résolus, à comprendre des bases de code complexes sans guide, ou à écrire du code répétitif. Un développeur senior devait souvent passer un temps considérable à les aider, créant un goulot d’étranglement.
Le second problème, plus insidieux, était la dette technique. Dans l’urgence des projets, la documentation du code était souvent négligée. Les fonctions étaient écrites, le code fonctionnait, mais personne ne prenait le temps d’expliquer pourquoi il avait été écrit de cette manière. Six mois plus tard, lorsqu’il fallait faire une modification, même le développeur d’origine avait du mal à comprendre sa propre logique. Cette documentation manquante (estimée à 60% du code base) rendait toute maintenance lente, coûteuse et risquée. Le code devenait une « boîte noire » fragile que personne n’osait toucher.
« Nos projets avançaient, mais nous construisions sur du sable, » avoue le Directeur Technique (CTO), Karim B. . « Chaque nouvelle fonctionnalité ajoutait une couche de complexité sans documentation, comme construire un étage supplémentaire sur une maison sans plan. Nos seniors passaient leur temps à faire du support pour les juniors ou à déchiffrer du vieux code. Ils n’innovaient plus, ils réparaient. Nous perdions en vélocité et la frustration montait dans les équipes. »
L’ESN a décidé d’équiper l’ensemble de ses 50 développeurs avec un assistant de codage de premier plan, basé sur l’IA générative, intégré comme un plugin dans leur éditeur de code (IDE). L’outil n’écrit pas le code à leur place, il agit comme un « pair programmer » (binôme de programmation) extrêmement expérimenté et toujours disponible.
Ses fonctions sont multiples :
« Mon ‘copilote’ est la meilleure chose qui soit arrivée à mon workflow depuis des années, » raconte une développeuse senior. « Les tâches répétitives, il les fait pour moi. Quand j’ai un trou de mémoire sur une syntaxe, il me la donne. Et surtout, la documentation n’est plus une corvée. Un clic droit, ‘Générer la doc’, et c’est fait. Je peux me concentrer sur la partie la plus intéressante de mon travail : la conception et l’architecture logicielle. »
L’adoption généralisée de l’assistant IA a produit des effets mesurables sur l’ensemble du cycle de développement.
« L’IA a agi comme un lubrifiant dans tous les rouages de notre usine logicielle, » conclut le CTO, Karim B. . « Nous produisons plus vite, avec une meilleure qualité, et nos équipes sont plus heureuses. Ce n’est pas un simple outil, c’est un investissement stratégique qui nous rend plus compétitifs sur le marché et plus attractifs pour les talents. Nous avons cessé d’accumuler de la dette pour recommencer à construire de la valeur. »
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