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Le Domaine B. , un prestigieux domaine viticole familial alsacien, était confronté à une complexité croissante pour déterminer la date de vendange optimale, en raison de l’hétérogénéité des parcelles et du changement climatique. En implémentant un modèle d’IA qui analyse des données multi-sources, le domaine peut désormais générer des cartes prédictives de maturité à 7 jours. Cette technologie a permis d’optimiser la qualité aromatique des vins, de réduire les coûts logistiques de 15%, et d’améliorer l’homogénéité des lots, sécurisant ainsi la qualité du millésime.
Pour un vigneron, décider du jour exact pour commencer les vendanges est la décision la plus cruciale de l’année. Elle conditionne la qualité de tout le millésime. Pour le Domaine B., exploitant plusieurs parcelles sur des terroirs variés, cette décision était devenue un véritable casse-tête. Le changement climatique a exacerbé les micro-variations au sein même du vignoble : une parcelle de Riesling sur un coteau exposé sud pouvait atteindre sa maturité une semaine avant une autre, située à quelques centaines de mètres seulement, mais sur un sol différent et avec une exposition légèrement plus fraîche.
Le processus traditionnel reposait sur l’expérience du vigneron, complétée par des prélèvements manuels d’échantillons de raisins dans chaque parcelle. Ces prélèvements, analysés en laboratoire pour mesurer le taux de sucre et d’acidité, étaient fastidieux et ne donnaient qu’une image partielle et ponctuelle de la situation. On pouvait facilement passer à côté d’une zone de sur-maturité ou de sous-maturité au sein d’une même parcelle. Décider de la date et de l’ordre de récolte relevait plus de l’art divinatoire que de la science, avec un risque d’erreur élevé. Une récolte trop précoce donne des vins verts et acides ; trop tardive, des vins lourds et manquant de fraîcheur.
« Chaque année, le stress monte en septembre, » raconte Christophe B. le vigneron. « On goûte les baies, on regarde la météo dix fois par jour, on analyse nos échantillons… mais on a toujours ce doute. Est-ce LE bon moment ? Pour la parcelle du haut ? Et celle du bas ? On planifie la venue des vendangeurs, une logistique énorme, avec une incertitude qui peut coûter des dizaines de milliers d’euros en qualité perdue si on se trompe de deux jours. »
Cette incertitude se traduisait par une hétérogénéité dans les cuves, obligeant à des assemblages complexes pour rattraper les défauts, et menaçait la signature stylistique des vins du domaine.
Le Domaine B. a participé à un projet pilote avec une agritech spécialisée dans l’IA pour la viticulture. L’objectif : créer un outil d’aide à la décision pour planifier les vendanges avec une précision inégalée.
La solution agrège et analyse en temps réel plusieurs couches de données :
Grâce à ces données, l’IA génère une carte dynamique du vignoble sur une tablette. Cette carte, mise à jour quotidiennement, ne montre pas seulement l’état actuel, mais prédit l’évolution de la maturité (taux de sucre potentiel et acidité totale) à 7 jours, avec un code couleur simple : du vert (pas mûr) au rouge (maturité optimale) en passant par le jaune et l’orange.
« C’est une révolution, » s’enthousiasme Christophe B.. « Je n’ai plus une vision parcelle par parcelle, mais rang par rang. Je peux voir sur ma tablette que la partie haute de mon Grand Cru sera prête mardi, tandis que la partie basse, plus fraîche, devra attendre vendredi. Je ne subis plus, j’anticipe. Je peux planifier avec précision les équipes de vendangeurs, en les affectant chaque jour à la zone qui a atteint son pic de maturité. »
L’outil permet de simuler des scénarios : « Si je récolte cette parcelle mercredi, quel sera le profil aromatique probable ? Et si j’attends samedi ? » Le vigneron reste le décisionnaire final, mais il prend sa décision sur la base de données objectives et prédictives.
Dès la première année d’utilisation, les bénéfices ont été tangibles.
« L’IA ne remplace pas mon instinct de vigneron, elle l’affine, » conclut Christophe B. . « Elle m’a redonné de la sérénité pendant la période la plus stressante de l’année. Je sais que chaque grappe est cueillie à son apogée. Cet outil ne garantit pas un grand millésime chaque année – la nature aura toujours le dernier mot – mais il nous donne les moyens de tirer le meilleur de ce que la nature nous offre. C’est un gage de pérennité pour notre domaine. »
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